Quoi ? Vincent Bernard sort une biographie du célèbre général sudiste Robert Lee et il n’avertit pas les copains ?
Faut que je découvre (presque) par hasard une page Facebook dédiée à l’oeuvre pour aller à la pèche aux infos ? 😀
Bon maintenant, ce n’est peut-être pas le Vincent Bernard que je connais, hein ? 😉
Bon, une biographie, unique en langue française à ma connaissance, et chez Perrin en plus. En mai 2014.
Pour en savoir plus, c’est sur la page Facebook !
A noter cette nouvelle tendance des auteurs à accompagner leurs ouvrages sur le réseau des réseaux, une expérience à suivre de près…
Si si, c’est lui ! 🙂
Et la page n’a que quelques jours et compte tenu de la parution au printemps, j’avoue que l’annonce est un peu anticipée mais après deux ans de travail et quelques délais imprévus, l’impatience a pris le dessus.
Merci beaucoup pour la mention ! 😉
Chez Perrin, c’est quand même pas mal ! Bravo ! 😉
Perrin, oui, c’est bien, et le café y est très bon. Seul problème, ils n’ont jamais de sucre !
Et bravo à VB 🙂
@Cépamoi: reconnu ! 😉 Un indice: Cépamoi est édité aussi chez Perrin ! 😀
Merci cépasvous 🙂
Pour le café, je ne sais pas, on ne m’en a pas offert lors de mon unique visite rue Bonaparte (ancienne adresse, pas d’avis sur la nouvelle 😉 )
Mais le pauvre provincial n’est-il pas toujours la cinquième roue du carrosse ? 😀
😉
Certes mais cestpaslui est AUSSI un provincial… et du sud encore ! 😀
Pour tout dire, je suis très heureux de voir les auteurs/pigistes des revues d’histoire militaire sortir des biographies, études et autres. J’ai toujours pensé qu’il y avait des talents qui méritaient de pouvoir s’étaler sur des centaines de pages !
Alors bravo aux Mantoux, Rondeau, Bernard, Mas et les autres !
Merci ! Il faut dire que pour « certains », l’age canonique approchant, il était temps d’essayer de se déployer un peu 😉
Vous êtes tous des jeunes, vous avez l’avenir devant vous. Bon ok, surtout Stéphane, le « junior de l’étape », le « monsieur je suis partout » ! 🙂
Merci de ton sympathique petit mot Jean-Luc
Lecture du Afrika Korps asap! Mon premier Rondeau ! 😉
Merci du compliment et du constat de l’arrivée progressive d’une « nouvelle génération » en Histoire militaire.
Il est trop tôt pour y voir une nouvelle « école » mais sait-on jamais ?
Cordialement,
CM
En même temps, je ne sais pas s’il s’agit d’une école. Mais après le grand vide universitaire (même s’il y a d’excellents enseignants-chercheurs dans le domaine trop peu nombreux…), le vide a été occupé par des amateurs rentiers et d’anciens militaires aux sources limitées… On a l’impression aujourd’hui d’avoir une série de « pigistes pro » intéressés par une recherche sérieuse ainsi que des militaires qui doublent leur compétence pro par de la recherche en univ. Bref de quoi animer sérieusement et de manière intéressante les années à venir. J’en suis évidemment très content, vu mon positionnement de lecteur passionné. 😀
je garde cette description.
L’absence de légitimité universitaire a priori de ces « passionnés » historiens non professionnels (sauf Stéphane et Benoît) impose des sujétions (recherche la plus approfondie possible, et volonté d’innover en permanence – parfois à l’excès) qui peuvent constituer le début d’un point commun à cette nouvelle génération.
sait-on jamais…
CM
En même temps, le côté « historiens professionnels » me fait sourire parce que: 1 – ils sont souvent passionnés aussi 2- par contre, le « professionnalisme » des enseignants chercheurs (en général, pas ces deux là…) me fait vraiment bien rigoler… J’en ai trop cotoyé… 😀
Pour ma part quatre ans de fac d’histoire (et non, pas plusieurs fois les mêmes 🙂 ), quelques années d’enseignement de l’histoire, et deux décennies de pratique quotidienne de l’histoire. Je ne sais pas où commence la « qualification » professionnelle de l’historien mais disons n’en ayant pas d’autre, j’essaie au moins de faire semblant 😉
C’est clair que c’est mieux qu’il ait de la méthode. Et s’il a du style, c’est pas mal non plus ! Pour le reste, j’ai vu d’excellents travaux d’historiens patentés comme de mauvais travaux aussi. Idem pour les historiens « non académiques », alors… personnellement, je me contrecarre du cursus académique de l’historien.
Je viens de lire les 120 premières pages de l’Afrika Korps de Benoît Rondeau. J’en suis très content ! 😉