Après un éditorial « viril » du rédac’chef Yves Debay et une rubrique « Etat d’alerte » toujours bien fournie, le sommaire de ce numéro 49 de mars 2010 comporte les rubriques suivantes:
- Retour sur l’affaire des drônes indiscrets par Jean-Jacques Cécile. Fin décembre 2009, cette affaire a défrayé les chroniques. Les insurgés irakiens accéderaient aux vidéos prises par les drones américains. Visiblement le problème n’était pas un scoop et Jean-Jacques Cécile nous retrace de belle manière l’origine et les contre-mesures mises en place pour pallier un problème qui reste, quand même, une belle bourde !
- La 6ème BLB prend la mer. R.Lucas nous relate la participation de la 6ème brigade légère à l’exercice Loyal Midas de l’OTAN à l’automne 2009. Un article trop léger pour présenter un intérêt à mon sens.
- Plongeurs-démineurs de la BundesMarine. Carl Schulze nous propose de découvrir ces spécialistes de la Marine de Guerre allemande au travers de leur formation, de leur organisation, de leurs matériels et de leur engagement en opérations extérieures. Un sujet rarement traité jusqu’ici et avec de belles photos de l’auteur.
- Jackal Patrol. Yves Debay a accompagné les Light Dragoons de Sa Gracieuse Majesté dans leurs opérations dans le sud de l’Afghanistan. L’accent est particulièrement mis sur les véhicules peu protégés Jackal qui permettent cependant aux britanniques de s’exonérer des déplacements sur les pistes souvent piégées par les IED. Adaptation, adaptation…
- Les peshmergas. Eric Cunat nous propose de découvrir les soldats kurdes engagés au Kurdistan mais aussi dans toutes les unités d’infanterie irakiennes dont ils semblent constituer l’épine dorsale. Un article original sur un sujet peu connu. A lire avec intérêt.
- Le Leopard 2 Peace Support Operations. Les MBT (main battle tanks) connaissent une nécessaire adaptation aux conflits du 21ème siècle. La disparition de la guerre froide a entrainé une forte réduction des unités blindées. A titre d’exemple, l’arme blindée allemande est passée de 2.125 chars dans les années 90 à 350 aujourd’hui. Au delà de cette réduction des forces, il a également été nécessaire de s’adapter aux conflits de basse densité comme l’Irak ou l’Afghanistan. Ralph Zwilling nous propose de découvrir la version PSO du Leopard 2 allemand.
- Le Eagle IV du constructeur Mowag.Un article de Ralph Zwilling sur ce véhicule à tout faire de l’industrie allemande. Il est clair que les conflits de basse intensité entrainent des adaptations importantes de ce type de véhicule.
- Les sacs de combat des paras français. Un article technique de Uwe Willsdorf sur l’un des outils les plus courants du fantassin de l’air au combat. Original.
- Le Scimitar. Paolo Valpolini nous propose de mieux connaître ce matériel déjà ancien mais toujours engagé dans les forces armées britanniques. Son canon de 30mm à tir rapide et sa mobilité sur chenilles en font toujours l’une des bêtes de somme préférées de l’armée britannique.
Un bon numéro du magazine Assaut qui a atteint sa maturité désormais.
Le verbe pallier est transitif direct : il admet donc un COD, sans préposition. On écrit « pallier une difficulté, un problème » et non « pallier à une difficulté, à un problème. »
; )
@vincent
merci !
😉
Concernant la ponctuation, quand il ne s’agit pas d’une phrase complète, il vaut mieux placer le point après les guillemets. Il faut donc éviter « .» ».
@vincent
merci x 2
tu as un blog ? 😉