Au sommaire de ce numéro de décembre 2024 et janvier 2025.

  • Tenir à Cholm, 105 jours dans l’enfer blanc. Janvier 42, groupe d’armées Nord, des unités allemandes vont se retrouver assiégées derrière les lignes soviétiques durant 3 mois. Un récit détaillé proposé par Didier Laugier de la constitution de la poche jusqu’à sa relève. Classique.
  • « Seelöwe », envahir Albion ! La victoire de l’été 1940 fut une surprise stratégique pour le commandement allemand. Monter une opération de descente en Angleterre était une vraie gageure… Même si les Britanniques étaient dans une posture de faiblesse impressionnante au niveau de leurs troupes terrestres, il leur restait la Royal Navy, la Royal Air Force et le Channel ! Un dossier bien complet proposé par Loïc Becker avec de rares et belles illustrations.
  • Le lance-roquettes multiple: BM-21 Grad de 122 mm. L’héritier des orgues de Staline. Jean-Jacques Labrot nous présente cette arme emblématique de l’arsenal soviétique de la Guerre Froide. Trop court à mon sens en six pages illustrées.
  • L’arme blindée tchécoslovaque. Tuée dans l’oeuf ! Un petit pays tout neuf entouré de grands voisins qui va faire feu de tout bois pour maintenir son indépendance. Une course aux armements vaine dont profitera l’Allemagne nazie. Par Loïc Becker.
  • Le général Olry. Le vainqueur oublié de 1940. Il s’agit des « bonnes feuilles » extraites d’une biographie que consacre Max Schiavon à ce général peu connu de l’armée des Alpes en 1940. Toujours passionnants, les textes de Max Schiavon !
  • Blindorama Israël. Laurent Tirone nous propose de faire le point sur l’équipement blindé de l’IDF en cette fin d’année 2024. Une très bonne synthèse en douze pages !
  • Dans la rubrique Actualités: des chars Leclerc pour Chypre ? Des Abrams pour l’Australie, la création d’un conservatoire pour valoriser le patrimoine militaire et industriel français. C’est dans la Nièvre et c’est porté par l’industriel Arquus !

Une pensée amicale à l’heure où l’éditeur, les éditions Caraktère, connaît des difficultés économiques. En cette période difficile, c’est nécessaire de soutenir la presse spécialisée. Nous serions bien orphelins sans elle ! Courage les gars ! Si on peut aider, n’hésitez pas à nous le dire !

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