Au sommaire:
- Bunker Hill, 17 juin 1775, l’Amérique sauve son indépendance: un article de Jean-Philippe Liardet sur les opérations autour de Boston en 1715. Les armées insurgées étaient certes embryonnaires et mal aguerries. Mais la situation géographique de Boston, les erreurs opérationnelles et tactiques des Britanniques allaient mener ces derniers à l’échec et à la prise de Boston par Washington. Avec ordre de bataille complet, 3 cartes et de nombreuses illustrations couleurs.
- La Marine française sous le règne de Louis XIV: On ne présente plus, aux habitués du magazine, Pierre Iltis et ses articles toujours éclairants sur la guerre navale. Il nous présente ici les efforts gigantesques réalisés sous le règle de Louis XIV par Colbert et Ségnelay: budgets, ports de guerre, construction navales sont au menu. Une vue générale des opérations au cours du règne nous est également proposée. Avec tableaux, histogrammes et bibliographie. Avec de superbes vues sur la maquette du Soleil Royal, navire à trois ponts.
- La guerre civile russe, 1917-1921 – 1ère partie: Raphaël Schneider se penche sur ce conflit, gigantesque par les distances qui vit s’affronter la puissance soviétique émergente et les différentes factions de l’ancien empire russe sous l’oeil et parfois les interventions des puissances extérieures. L’article couvre la période 1917-1918.
- Le centurion et la crête transversale. Un article de Sébastien Lemoine consacré à ce « détail » de la tenue du pilier de la légion romaine. Un article pointu, pour les passionnés, magnifique soutenu par des photos de reconstituteurs.
- Les trains blindés de la guerre civile russe 1917-1922: un article utile qui vient compléter celui de Raphaël Schneider. L’immensité du conflit va amener le train à jouer un rôle opérationnel et tactique non négligeable. Par Jean-Philippe Liardet.
A noter, dans ce numéro, quelques cartes à l’impression malheureusement imprécise. J’espère que cela ne concerne que mon exemplaire.
Champs de bataille n°46. En vente dans les maisons de la presse et chez l’éditeur.
C’est 1775 pas 1715 !!!
1775, 1715, 1915, 1815, 1515, 1415… tout se mélange ! Suis en vacances ! Oups ! 😉 (thanks a lot, guy !)
1715, 1915, 1815, 1515, 1415 (cherchez l’intruse 🙂 )
Vue la tradition généralement observée pour les années en 15, on peut comprendre le lapsus (et en étant un poil superstitieux, on ne devrait pas être trop pressés de voir arriver la prochaine 😉 ).
Sinon au passage, sommaire vraiment éclectique. Je suis un peu perplexe (hélas) sur la mobilisation de masse autour de ce type de sujet mais c’est « intellectuellement » louable quoi qu’il en soit.
C’est ce que j’aime chez CdB, le côté éclectique ! 😉
De rien c’est Santino qui m’a dit pour la date
Quel faux-cul, celui là ! 😉