1805: l’année d’Austerlitz !
1805: l’année où le savoir-faire militaire de Napoléon Bonaparte est à son apogée.
Du camp de Boulogne où il prépare l’invasion de l’Angleterre à Austerlitz en Moravie, bataille d’anthologie en passant par Trafalgar, bêtise navale, la capacité de travail de l’empereur des français est impressionnante. 1805 est l’année où il va forger son outil militaire: la Grande Armée. Rien n’égalera jamais plus jusqu’à la fin de l’Empire, cette armée forgée au camp de Boulogne !
Pour rappel, cet ouvrage fait partie d’une série exceptionnelle qui ne vise pas moins qu’ à publier la totalité de la correspondance de Napoléon Bonaparte. C’est la Fondation Napoléon qui en a pris l’initiative soutenue par la Fondation La Poste et par les éditions Fayard.
Les plus grands historiens français actuels de l’Empire (Lentz, Tulard,…) collaborent à ce travail gigantesque. De fait, des pans complets de cette correspondance ont déjà été publiés depuis le Second Empire mais jamais de manière aussi complète et impartiale.
Ce travail, commencé en 2001, a déjà vu la publication de cinq volumes. Encore sept à publier… !
1128 pages. Aux éditions Fayard en 2008.
Bonjour. Je me permets d’apporter une petite correction à votre dernière affirmation : 8 volumes sont déjà parus (le dernier étant « 1808 – Expansions méridionales et résistances »), sur un total de 14 prévus d’ici à 2017.
@Nicolas M: je republie peu à peu les articles de mon ancien blog, d’où mon décalage… Désolé. A l’origine, il était prévu 12 tomes (cf le tome 1). Je n’ai pas eu l’information que le volume total serait porté à quatorze. Vous avez de l’info là dessus ! Dans tous les cas, merci de votre visite. 😉
@Nicolas M: une précision, je suis l’heureux possesseur des huit premiers tomes ! bon week-end… blanc… 😉
Effectivement, je me doutais que vous republiiez vos anciens articles. Je souhaitais simplement avertir les nouveaux lecteurs de la publication de nouveaux tomes entre temps.
Vous avez bien de la chance de posséder ces ouvrages, qui sont certainement d’un grand intéret. Je n’ai quant à moi pas la joie d’en posséder. Je me laisserais peut être tenter un jour.
J’oubliais la source : http://www.napoleon.org/fr/fondation/correspondance/index.asp