Pas mal de choses cette semaine:

  • Perspectives énergétiques. Les ressources énergétiques constituent un élément impactant la géopolitique de manière déterminante. Frédéric Encel, bien connu pour ses ouvrages géopolitiques, a dirigé la rédaction de ce petit opus synthétique de 138 pages aux éditions Ellipses en 2013.

  • La géographie, ça sert, d’abord, à faire la guerre. Yves Lacoste. Mais où ai-je bien pu égaré celui-là ! A force d’en parler, j’ai dû le prêter… et il a disparu… Et bien les éditions de La Découverte nous en livre une nouvelle édition augmentée ! Le texte fondateur (1976) d’une certaine géopolitique à la française ! Je reste un grand admirateur d’Yves Lacoste ! 246 pages en 2013.

  • La renaissance américaine d’Evariste Lefeuvre.  Bon c’est le sujet qui m’a capté, évidemment ! Là où beaucoup de corbeaux de mauvaise augure (français) voudraient voir la fin des États-Unis d’Amérique… Le point de vue d’un économiste français installé à New York. Curiosité… 😉 Ça me rappelle que je n’ai toujours pas fini le « Back in the USA » de Friedman et Mandelbaum ! 168 pages aux éditions Léo Scheer en 2012.

  • Liban, Syrie. Le mandat, 1919-1940 d’Henri de Wailly. J’avais énormément apprécié cet auteur avec son ouvrage consacré à la guerre du Levant, « Syrie 1941 ». Il est l’auteur d’ouvrages remarqués également sur la guerre 39-45. Celui-ci est consacré à la période française sur les terres du Levant, anciennes possessions turques après la première guerre mondiale. Je le lirai très prochainement ! Aux éditions Perrin en 2010. 334 pages.

  • Chère Algérie, la France et sa colonie (1930-1962). L’étude complète, bien connue, de Daniel Lefeuvre sur ce qu’a représenté l’Algérie dans l’économie française. Une thèse sérieuse qui vient compléter le travail d’un Jacques Marseille sur le coût de la colonisation française. Amateurs de la repentance s’abstenir… Aux éditions Flammarion en 2005. 512 pages.

Mais quand aurai-je le temps… 😉

 

 

 

 

 


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