La geste de la Légion associée à la plume du conteur.
La Légion Étrangère française. Faut il encore la présenter ?
La Légion Étrangère et la légende légionnaire. De 1831 en Algérie jusqu’à l’Afghanistan aujourd’hui, la Légion fut de tous les combats de la France.
La Légion a construit sa légende à l’entrainement, au combat et dans ses dégagements. La cravate verte et le képi blanc en ont vu de toutes les couleurs.
Il fallait, à cet unité d’élite, un conteur d’élite. Elle l’a trouvé sous la plume de Paul Bonnecarrère qui a livré, avec son « Par le sang versé », un livre d’anthologie à la gloire de la Légion en Indochine. Il est utile de rappeler que 309 officiers, 1.082 sous-officiers et 9.092 légionnaires sont morts durant la guerre d’Indochine.
Paul Bonnecarrère les fait revivre de la plus belle des manières de la Cochinchine au Tonkin en passant par l’Annam.
Et: « Qui sait si l’inconnu qui dort sous l’arche immense n’est pas cet étranger devenu fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé ».
Tout est dit !
More Majorum !
Par le sang versé de Paul Bonnecarrère à la Libraie Académique Perrin (2007).
Voir également son « La guerre cruelle » concernant la légion Etrangère engagée dans la guerre d’Algérie.
Je viens de le lire, il est tout simplement excellent.
Un peu partial, peut-être, mais on ne reprochera pas à l’auteur l’expression regulière de sa tendresse pour cette arme d’élite.
Chaudement recommandé.
@Thomz
Au delà du sujet, il y a le style d’écriture de Paul Bonnecarrère.
Voir également son La guerre cruelle sur la Légion en Algérie.
Merci d’être passé par ici !
😉