Wellington et sa cavalerie lourde. Il se méfiait non de son courage mais de sa témérité !
L’armée anglaise de Wellington reposait principalement sur son infanterie solide à la capacité de tir inégalée et sur le placement judicieux de ses batteries d’artillerie. La cavalerie lourde, dans la bataille, était généralement en réserve et engagée tactiquement là où l’Empereur français pouvait l’employer concentrée dans de grandes charges décisives. La cavalerie lourde aurait elle démérité ? Que non !
Wellington lui reconnait bien des vertus mais il se méfiait de son incapacité à arrêter la charge et à se re-concentrer pour la suite de la bataille. Et c’est bien ce qui se passa à Waterloo.
C’est ce que nous démontre Bryan Fosten dans ce fascicule de 48 pages des Editions Osprey illustré de 8 planches couleurs.